Le jour de l’ouverture de son magasin, un commerçant reçoit un bouquet de fleurs. Sur la carte jointe, il découvre les mots suivants :
« Nos sincères condoléances. »
Le fleuriste lui téléphone pour lui présenter ses excuses, ce bouquet ne lui était pas destiné.
– Oh, ce n’est pas grave, cela peut arriver !
– Ce qui me gêne, c’est que le bouquet qui vous était destiné, ainsi que la carte sont partis pour le cimetière.
– Ah ? Et qu’y avait-il d’inscrit sur cette carte ?
– « Félicitations pour votre nouvel appartement. »