Chirac et Bush sont dans un bar en Arabie Saoudite, en train de boire un verre d’alcool lorsque la police saoudienne les arrête. La consommation d’alcool est une offense grave en Arabie Saoudite. Ainsi, ils sont tout les deux condamnés à 20 coups de fouet.
Alors qu’ils se préparaient à leur punition, le cheik annonça :
– C’est l’anniversaire de ma première épouse aujourd’hui, et elle m’a demandée de permettre à chacun de vous d’exaucer un souhait avant d’être fouettés.
Bush étant le premier, il réfléchit pendant un moment puis dit :
– S’il vous plaît, attachez un oreiller dans mon dos.
Ceci fut fait, mais l’oreiller résista seulement le temps de recevoir 10 coups de fouet. Une fois la punition terminée, Georges dut être emporté en train de saigner abondamment et de pleurer de douleur.
Vient le tour de Chirac. Le cheik se tourne vers lui et dit :
– Vous venez d’un des endroits les plus beaux du monde et votre culture est une des plus fine au monde. A cause de cela, vous avez le droit à deux souhaits !
Chirac lui répondit :
– Soyez remerciée, votre très royale Altesse pleine de miséricorde. En reconnaissance de votre bonté, mon premier vœu sera que vous ne me donniez pas 20, mais 100 coups de fouets !
– Non seulement vous êtes un honorable et puissant gentilhomme, mais vous êtes aussi très brave. Si 100 coups de fouet est votre souhait, qu’il en soit ainsi. Et quel sera votre second souhait ? demanda le Cheik.
– Attachez-moi Bush sur le dos.