c’est 2 belges qui vont aux sports d’hiver et cette année ils veulent le même moniteur que l’année prcédente.
ils s’adressent donc à l’esf:
– bonjour nous voudrions le moniteur de l’année derniere une fois
– oui ,répond la secrétaire, quel est son nom
– oh je sais plus il avait une combinaison rouge et bleu…
– vous savez tous les moniteurs ont une combi de cette couleur
– euh il portait des lunettes de soleil je me souviens aussi
– ça ne me dit rien, il n’a pas un signe bien distinctif
– ah si, je vais vous mettre dans la confidence mais il a 2 anus
– ah bon ? s’étonne la secretair, comment ça
– ben à chaque fois qu’il croisait un collégue celui-ci lui demandais:
« -alors toujours avec tes deux trous du cul ?!?!?!! »
Archives par mot-clé : interethnique
Le cow-boy qui murmure à l’oreil des animaux
Un indien est en train de garder des chèvres. Un cow-boy se pointe et lui dit :
– C’est ton chien ?
– Lui être !
– Je peux lui parler un peu ?
– Chien pas parler !
Bon, le cowboy s’approche du chien.
– Ca va ?
– Pas mal ! (stupeur de l’indien…)
– Cet Indien, c’est ton maître ?
– Ouais.
– Il est bien avec toi ?
– Oui, très bien. Il m’emmène pisser deux fois par jour, me donne de la bonne bouffe et joue avec moi. (Ahurissement de l’Indien)
Le cow-boy demande a l’Indien.
– C’est ton cheval ?
– Lui être !
– Je peux lui parler un peu ?
– Cheval pas parler.
Le cow-boy s’approche du cheval.
– Ca roule ?
– Bien ! (l’Indien de plus en plus ahuri)
– Cet indien, c’est ton maître ?
– Oui.
– Comment il te traite ?
– Bien. Il me monte bien, me fait faire juste l’exercice nécessaire, une bonne course par jour. Il ne me surmène pas, me fait boire régulièrement, m’étrille deux fois par jour plus une fois chaque effort, et il m’a construit une cabane ou il y a de la litière et du foin. (l’Indien n’en croit ni ses yeux ni ses oreilles)
Le cow-boy revient vers l’Indien.
– C’est tes chèvres ?
– Chèvres mentir.
Boire ou conduire…
On est dans un avion de ligne et l’hôtesse avance avec son chariot de boissons …
Elle arrive au niveau d’un Américain, et elle lui demande s’il désire boire quelque chose. L’Américain réfléchit, et commande finalement « Un whisky, car c’est la boisson typique des Etats-Unis !! »
Elle continue à avancer et elle finit par arriver au niveau d’un Français !! Dès lors, elle lui pose la même question qu’à l’autre passager, et le Français, après avoir un peu réfléchi lui commande: « Une bouteille de Bordeaux Rouge car c’est une boisson typique de France ». L’hôtesse s’éxécute alors …
Ayant servi le Français, elle poursuit sa petite tournée et arrive face à un Taliban… Elle lui deman,de ce qu’il veut prendre, et ce dernier lui répond simplement: « Non merci, je conduis après !! »
Expérience scientifique
Des scientifiques en sciences cognitives d’Afrique du Sud ont réalisé des expériences sur un homme.
Ils lui ont fait subir des électro-chocs afin de faire baisser son intelligence.
Après l’avoir baissée de 10% , le gars commençait à avoir des sueurs.
Une fois baissée de 30%, le pauvre cobaye avait bien des problèmes pour réfléchir.
À moins 60% d’intelligence, le gars était près de perdre conscience.
À – 90 % d’intelligence, des seins ont commencé à lui pousser!
Avancée technologique
Après avoir creusé le sol sur une profondeur de 100 mètres, des scientifiques Russes ont trouvé des traces de fils de cuivre âgés de plus de 1000 ans et en sont arrivé à la conclusion que leurs ancêtres avaient un réseau téléphonique interurbain à cette époque !!!
Pour ne pas être en reste, les Américains ont creusé à plus de 200 mètres de profondeur le sous-sol de la mère-patrie pour découvrir des traces de fibres optiques vieilles de 2000 ans, confirmant que l’Amérique possédait un réseau de communications digitales très avancé, à l’époque de Jésus et 1000 ans avant les russes !!!!!
Une semaine plus tard, Chirac publiait un rapport mentionnant que des scientifiques avaient creusé le doux sol de France à une profondeur de 500 mètres et n’avaient absolument rien trouvé, confirmant que 3000 ans avant Jésus Christ, tous les Français vaient déjà un téléphone cellulaire et niquaient les Américains.
Sondage de l’ONU
Le mois dernier, un sondage a été mené à échelle mondiale par l’ONU.
La question était:
Madame, Monsieur, veuillez, s’il vous plaît, donner honnêtement et librement votre opinion sur d’éventuelles solutions à la pénurie de nourriture dans le reste du monde.
Ce sondage fut, hélas, un échec retentissant :
- En Afrique, personne ne comprit ce que signifiait nourriture
- En Europe de l’est, personne ne comprit le mot honnêtement
- En Afghanistan, personne ne savait ce que voulait dire Madame
- En Europe de l’ouest, personne ne comprit ce que signifiait pénurie, ni donner
- En Chine, personne ne comprit opinion
- Au Moyen Orient, personne ne comprit solution
- En Amérique du sud, personne ne comprit ce que signifiait s’il vous plaît
- Au Tibet, personne ne comprit ce que signifiait librement
- Enfin aux États Unis, personne ne comprit ce que signifiait le reste du monde.
Perdu en montagne
Un journaliste se rend en Ouzbékistan pour y faire quelques reportages pour son journal. Dans un village reculé, il rencontre un vieillard et lui demande :
– Vous pouvez me raconter le souvenir le plus mémorable de votre vie ?
Le vieil homme sourit et commence son histoire :
– C’est un jour, il y a très longtemps, ma chèvre s’était égarée dans la montagne. Comme c’est la tradition, tous les hommes du village s’étaient réunis pour boire de la vodka et partir à la recherche de la chèvre.
Il poursuit :
– Quand on l’a finalement retrouvée au petit matin, on a encore bu de la vodka et, comme c’est la tradition, tous les hommes du village se sont tapés la chèvre un par un. Qu’est ce qu’on a pu rigoler !
Le journaliste se dit que cette histoire est difficilement publiable et demande au vieil homme de lui en conter une autre, peut-être un peu moins grossière.
Le vieil homme sourit et dit :
– Un jour, la femme de mon voisin s’est perdue dans la montagne. Comme c’est la tradition, tous les hommes du village se sont réunis pour boire de la vodka et partir à la recherche de la femme en question. Comme c’est la tradition, quand on l’a finalement retrouvée, tous les hommes du village se sont tapés la femme du voisin. On s’est bien amusé !
Le journaliste n’est pas encore convaincu et interroge le vieil homme :
– Vous n’auriez pas une histoire plus triste ?
Le vieil homme prend un air sombre et commence :
– Un jour, je me suis perdu dans la montagne…
Pompes funèbres
Un Arabe entre dans une société de pompes funèbres et dit :
Bijour Madame, je la voudri di la vaseline silvoplé..
La dame outrée :
Enfin..Monsieur, ici, nous n’en avons pas !
Kés kissé ce burdel ? Ispisse di counass !!!
Y’a icrit ‘tout pour li zob sec’ sur ta vitrine !!!
Bon vendeur
MOURICE BEN FENECH se présente, pour un emploi, de vendeur dans un Super Bazar où l’on vend de tout. Le patron lui demande s’il a de l’expérience. « Si j’ai de l’expérience ? Dans la vente ? Aaiaiaiaiaille, tu me demande ça à moi, Mourice Ben F’nech ? J’suis le Roi de la vente, moi ! Mon cousin il avait une boutique, j’ai tout vendu. Maintenant il est parti au souleil tellement j’l’ai rendu riche… la tête de ma mère, y’a pas meilleur vendeur que moi. »
Le Patron, amusé par la situation décide d’essayer le jeune homme pour la journée. Le soir, il revient pour voir ce qu’il a bien pu vendre.
» Alors, combien de ventes as-tu fait aujourd’hui ? «
» Une seule, sur ma tête Patron, il est v’nu qu’un client «
» Ce n’est pas très brillant ça, et une vente de combien ? «
» Seulement 100.000 Euros, patron «
» Quoi ? 100.000 ? Tout rond ? Mais…comment ça ? «
Et Mourice, il raconte : » Y a un type qu’est v’ni et j’li ai vendu un hameçon. Pis, j’li propose la petite canne à pêche au lancer et une série de mouches. Et comme j’li dit qu’il peut pas pêcher sans être bien équipé, j’li vends aussi la grande canne avec la ligne et les bouchons et un moulinet. » Sir la tête de ma mère, t’en as jamais vi un comme ça « , que j’li dis. » ti peux r’monter MobyDick avec ça. Après, pour pas qu’il ait honte devant les autres pêcheurs, j’li ai vendu l’équipement, les bottes, le ciré et le bob. Parce qu’avec sa canne toute neuve, s’il a pas l’équipement, y va passer pour un plouc, hein chef ? Et les clients de Ben F’nech, ils peuvent avoir l’air con mais pas l’air plouc. Pis, j’li demande où il va aller pêcher. I’mm dit » sur la côte » . Alors, j’li dis qu’il f’rait bien d’acheter un bateau pour pêcher au large, et j’li vends le hors-bord de 12 mètres avec les deux moteurs. Et j’li demande comment y va emmener son bateau sur la côte. Y savait pas. Alors, j’li ai vendu la nouvelle Mercédès et une remorque pour tracter le bateau. Et pis on a fait les comptes. Ça faisait 101.124 Euros. Alors j’li dis « comme t’es un bon client, j’ti fais un prix: 100.000 tout rond, mai ti paies cash. Il a dit » j’passe à la banque et j’arrive « . Et 1/2 heure après, il est rev’nu avec l’argent et il a tout pris, patron. Les sous sont là dans la caisse.
Le Patron est scié, complètement ahuri, assis par terre. Il n’en croit pas ses oreilles, il regarde l’argent dans la caisse et dit : « T’as vendu une Mercédès et le hors bord à un gars qui venait pour acheter un hameçon ? »
» Heu…bin non, pas vraiment, patron. L’client, y v’nait pour ach’ter une boîte de TAMPAX pour sa femme, alors j’li ai dit : » Puisque ton week-end il est foutu, pourquoi t’irais pas à la pêche ? «
L’épicerie arabe
Un chinois, qui tient un restaurant chinois, va dans l’épicerie qui est de l’autre coté de la rue.
Il demande à l’arabe qui est à la caisse des boîtes de pâtés pour chien.
L’arabe lui dit alors:
– Tu te fous de moi, de la pâté pour chien? Tu vas la servir à tes clients.
– Mais non, mais non, c’est pour mes chiens, j’ai deux gros bergers allemand
– Si tu veux de la pâté pour chien montre moi d’abord tes chiens…
Alors le chinois revient quelques minutes après avec ces deux gros chiens et l’arabe lui vend de la pâté pour chien.
Quelques jours plus tard, le chinois retourne dans l’épicerie pour acheter de la pâté pour chat.
L’arabe lui fait la même réflexion que la dernière fois:
– Tu te fous de moi, de la pâté pour chat? Tu vas la servir à tes clients.
Et le chinois lui répond encore:
– Mais non, mais non, c’est pour mes chats, j’ai deux chats
– Si tu veux de la pâté pour chat montre moi d’abord tes chats…
Alors le chinois revient quelques minutes après avec ses chats sous les bras et l’arabe lui vend de la pâté pour chat.
Encore quelques jours plus tard, le chinois retourne dans l’épicerie avec un bol et une cuillère.
Il tend le tout à l’arabe. Celui-ci prend la cuillère et goûte ce que lui propose le chinois et s’écrie:
– Mais!! C’est de la merde??
Et le chinois lui répond:
– Je peux avoir du papier toilette??