Le punk et la none

Un punk entre dans un salon de coiffure et s’assoit à côté d’une bonne soeur.
Il la regarde un moment puis lui demande si elle ne voudrait pas faire l’amour avec lui car il la trouve super sexy.
Horrifiée, la soeur se lève et quitte immédiatement le salon. Le coiffeur,témoin de la scène, dit au punk :
– Si tu veux sérieusement coucher avec elle, je connais un moyen infaillible. Rends-toi au cimetière derrière l’église à minuit et fais-toi passer pour Dieu, elle ne pourra pas résister.
Le punk se rend donc à minuit au cimetière, déguisé d’un grand drap blanc et d’une fausse barbe. La religieuse est effectivement là, en train de prier.
Le Punk surgit soudain et lui dit :
– Je suis Dieu ! Si tu souhaites vraiment que tes prières se réalisent,tu dois t’unir à moi en couchant avec moi.
Après un petit moment de reflexion, la religieuse lui dit :
– D’accord, mais comme je tiens à demeurer vierge, faites ça par l’arrière.
Alors le punk, tout heureux, prend la soeur et la sodomise. Puis, tout de suite après, fier de lui, il se lève, enlève le drap et son déguisement et dit à la religieuse en ricanant :
– Ah ! Ah ! Coucou ! Je ne suis pas Dieu ! C’est moi, le punk !
Alors la soeur enlève son voile et dit :
– Ah ! Ah ! Coucou ! Je ne suis pas la soeur ! C’est moi, le coiffeur !

La petite boîte du grenier

Mamie, proche de la mort, est dans son lit. Papy est à ses côtés.

Mamie lui demande : « va dans le grenier, au fond à gauche, tu trouveras une boîte ». Papy monte au grenier et y découvre, sous la paille, une petite boîte dans laquelle il y a 3 oeufs et 150 000 francs ! Il retourne auprès de Mamie sur son lit de mort et lui demande : « c’est quoi ces 3 oeufs ? »

Mamie lui répond : « chaque fois que je n’avais pas d’orgasme avec toi, pendant ces 50 ans d’amour, je mettais un oeuf dans cette boîte ».

Papy très fier de n’y trouver que 3 oeufs en 50 ans d’amour,demande alors :  » Et les 150 000 francs ? « 

Mamie lui répond :  » chaque fois que j’avais une douzaine d’oeufs,j’allais les vendre au marché …

Attente chez le coiffeur

Un gars passe sa tête à la porte d’entrée du coiffeur et demande :  » Combien de temps avant que vous puissiez me couper les cheveux ? »
Le coiffeur jette un coup d’œil: il a toutes les personnes qui attendant déjà leur tour et répond :  » Faut compter deux heures. « 
Et le gars s’en va.
Quelques jours plus tard, le même gars passe sa tête à la porte et demande :  » Combien de temps avant que vous puissiez me couper les cheveux ? »
Là encore, le coiffeur parcourt des yeux son salon qui est encore rempli de clients et répond :  » Pas avant deux heures. « 
Et le gars s’en va.
Une semaine plus tard, le même gars passe encore la tête à l’entrée du salon de coiffure avant de poser la sempiternelle
question : « Vous pouvez me prendre dans combien de temps? »
Le coiffeur répond :  » Dans une heure et demie. « 
Et le gars s’en va.
Là, le coiffeur s’adresse à l’un de ses amis présent dans le salon et lui dit : « Dis donc Bernard, tu veux bien suivre le gars qui vient de passer son nez à la porte, et tu regarderas où il va. »
Un peu plus tard, Bernard est de retour dans le salon de coiffure et a du mal a réprimer un fou rire.
 » Alors, lui demande le coiffeur, tu l’as suivis ? où est-il allé en sortant d’ici ? « 
Et Bernard lui répond: » Chez ta femme ! « .

Le pharmacien

Une femme entre dans une pharmacie et demande de l’arsenic…
– Que comptez vous en faire? lui demande le pharmacien
– C’est pour tuer mon mari…
– Quoi? Vous plaisantez! Je ne peux pas vous vendre de quoi commettre un meurtre!
La femme ouvre alors son sac à main, et en sort une photo de son mari en train de coucher avec la femme du pharmacien…
– Ah, évidement, lui dit ce dernier, si vous avez une ordonnance, c’est différent…

Retour à la maison

Une fille n’était pas retournée dans son Irlande natale depuis 5 ans.
Un jour, elle arrive à la maison, mais elle n’a pas encore franchi le seuil, que son père l’enguirlande vertement :
– Où étais-tu tout c’temps là ? Pourquoi ne nous as-tu pas écrit, même pas une carte postale ? Tu n’as jamais appelé.
La fille se met à pleurer :
– Papa, je suis devenue une prostituée.
– Quoi ? Hors d’ici, pécheresse, Fille de petite vertu ! Tu es une disgrâce pour notre famille catholique. Je te renie.
– Comme tu veux, papa… Je venais juste apporter à maman ce magnifique manteau de vison, et aussi un livret de Caisse d’épargne de 5,000 £, et les titres de propriété de cette maison que je vous ai achetée, avec 10 chambres, 10 salles de bains, une piscine, et aussi une invitation pour passer les Fêtes sur mon yacht.
Papa demande:
– Qu’est-ce-que tu as dit que tu étais devenue ?
La fille se remet à pleurer :
– Une prostituée, Papa
– Ah Seigneur, tu m’as fait peur ! J’avais compris : PROTESTANTE !

Travail ou plaisir?

Le PDG d’un grand groupe multinational déambule dans son bureau de 120m2 ,emmerdé par l’ennui d’une nouvelle journée de glande. Après avoir consulté ses mails, le cours du CAC40 et quelques minutes de loft story sur le net, il décide d’appeler son vice-président (plongé dans une partie de tétris en réseau).

Une fois dans le bureau, il lui dit:
– Écoutez, j’ai une terrible préoccupation à propos de mon épouse. Je me demande si le fait de faire l’amour avec ma femme est une question de travail, ou est ce que c’est juste une question de plaisir?
Le Vice-président embarrassé, lui répond sans trop se mouiller:
– Franchement, je n’ai aucune idée M. Le Président.
– Vous avez une heure pour me donner la réponse! ordonne le PDG.

Le Vice-président court voir son Vice-président adjoint (qui lisait l’Équipe tranquillement dans son bureau de 60m2) et lui pose le problème:
– Une question, si notre cher Président se tape sa femme, à ton avis, c’est une affaire de travail ou c’est juste pour le plaisir?
– Alors la, j’en sais rien lui répond-il.
– Vous avez 55 minutes pour me répondre!!

Le Vice-président adjoint va voir son directeur financier (en pause-café)…
– Si notre président saute sa chérie, c’est du travail ou du plaisir?
– Financièrement, le coût est nul, je ne peux donc pas répondre…
– T’as 45 minutes…

Celui-ci va voir son chef de département (en réunion), qui à son tour va voir un de ses chefs de projets (le seul qui n’est pas en RTT)…
– Si le vieux baise sa meuf?, c’est du taf ou c’est juste pour le fun?
– J’en sais rien!
– 20 minutes

Le chef de projet va donc voir un de ses responsables techniques qui en dernier recours va demander à l’un de ses sous-traitants en pleine période de livraison, avec dix cahiers de charge sur la table, trois mois de boulot sur le dos, pleins de doc à rédiger, la messagerie qui fume, le téléphone qui sonne sans arrêt…
– Oh! le sous-traitant! une question!
– Pas maintenant, je suis jusqu’au cou, j’ai pas le temps, j’ai plein de trucs à faire
– C’est super urgent!! il faut que tu répondes
– Vas-y! c’est quoi? demande le sous-traitant.
– Si le Big Boss fourre sa pouf, c’est du boulot ou du plaisir?
– Arrête, trop facile, c’est du plaisir! Affirme le prestataire.
– Attends! Comment tu peux savoir aussi vite?
Le sous-traitant répond indigné:
– Si jamais c’était du boulot, c’est moi qui serait en train de me la taper!!!

Sacré poète breton

Un beau jeune-homme arrive dans une ferme de Corrèze et demande l’hospitalité.
Le fermier lui demande ce qu’il fait dans la vie et le beau gosse répond:
– Je suis poète, poète breton de Plouaret, un troubadour en quelque sorte.

Le fermier accepte de l’héberger dans la grange et dit à sa fille:
– Oh! Y a un type bizarre dans la grange. Y dit qu’il est poète!
 »- Je vais voir ça, dit la fille.

Elle entre à petits pas dans la grange:
– Alors comme ça, vous êtes poète?
– Eh oui , je fais des vers,je joue avec les mots , je compose des rimes, … Tu vas voir : Quel est ton nom?
– Moi c’est Gervaise.
– Et ben Gervaise, vient ici que je te baise.
Il la prend, la couche sur le foin et lui fait son affaire.

Peu après, la fille ravie revient voir ses parents:
– Il est super ce gars! Y fait des poèmes!
La mère se décide à aller voir: »
– Alors comme ça, vous faites de la poésie?
– Oui, oui ! Je suis un ménestrel moderne, un troubadour….je sais rimer. Quel est ton nom ?
– Moi c’est Annick…
– Eh bien Annick, viens par-là que je te nique!
Il se rue sur elle et lui fait son affaire dans le foin.

La mère toute émoustillée retourne à la ferme:
– Y m’a fait un grand poème, Boudiou que c’était beau !
Le père dit alors:
– Vin diou, y faut que j’aille voir ça moi aussi !!!!
La mère et la fille lui barrent la route en criant:
– Non Hercule, n’y va pas!!!!

Perdu en montagne

Un journaliste se rend en Ouzbékistan pour y faire quelques reportages pour son journal. Dans un village reculé, il rencontre un vieillard et lui demande :
– Vous pouvez me raconter le souvenir le plus mémorable de votre vie ?

Le vieil homme sourit et commence son histoire :
– C’est un jour, il y a très longtemps, ma chèvre s’était égarée dans la montagne. Comme c’est la tradition, tous les hommes du village s’étaient réunis pour boire de la vodka et partir à la recherche de la chèvre.
Il poursuit :
– Quand on l’a finalement retrouvée au petit matin, on a encore bu de la vodka et, comme c’est la tradition, tous les hommes du village se sont tapés la chèvre un par un. Qu’est ce qu’on a pu rigoler !

Le journaliste se dit que cette histoire est difficilement publiable et demande au vieil homme de lui en conter une autre, peut-être un peu moins grossière.
Le vieil homme sourit et dit :
– Un jour, la femme de mon voisin s’est perdue dans la montagne. Comme c’est la tradition, tous les hommes du village se sont réunis pour boire de la vodka et partir à la recherche de la femme en question. Comme c’est la tradition, quand on l’a finalement retrouvée, tous les hommes du village se sont tapés la femme du voisin. On s’est bien amusé !

Le journaliste n’est pas encore convaincu et interroge le vieil homme :
– Vous n’auriez pas une histoire plus triste ?
Le vieil homme prend un air sombre et commence :
– Un jour, je me suis perdu dans la montagne…

Un bon conseil

Alors qu’ils sont sur le point de se séparer après une partie de poker nocturne, deux potes discutent. Le premier raconte :
– Je n’arrive jamais a berner ma femme, j’éteins le moteur de la voiture et je la laisse avancer en roue libre dans le garage, je retire mes chaussures en bas, je monte sans bruit a l’étage et je me déshabille dans la salle de bains sans bruit. Et ben, a chaque fois, elle se réveille et se met a hurler que je rentre trop tard, que je devrais être honteux de la laisser toute seule a la maison pendant que je vais m’amuser !

– T’as tout faux !, lui répond l’autre
– Fais comme moi. J’accélère un bon coup en rentrant la voiture dans le garage, je claque toutes les portes, je fais du bruit avec les pieds dans les escaliers, je me déshabille dans la chambre, je fais couler tous les robinets dans la salle de bains, et quand je me mets au lit, je lui mets la main au cul en disant « Qu’est-ce que tu dirais d’un petit coup de bite ? » Et la, c’est marrant, mais elle fait toujours semblant de dormir.

Une affaire inexplicable

Un paysan est dans un bar en train de boire au beau milieu de la journée.
Un gars le voit et lui demande :
– Hey, pourquoi tu es dans un bar en train de te saouler par une belle journée comme aujourd’hui?
– Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
– Qu’est-ce qui t’arrive de si grave?
– Ben, tu vois, ce matin, j’étais dans l’étable en train de traire ma vache. A la fin, la vache a donné un coup avec sa patte gauche sur le seau et l’a renversé.
– Ça n’a pas l’air si grave que ça…
– Ouai, mais y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
– Qu’est-ce qui s’est passé d’autre?

Le paysan continue :
– Là, j’ai décidé d’attacher la patte gauche de la vache au poteau pour ne pas qu’elle recommence.
– Et puis?
– Ben, je me suis rassis et j’ai recommencé à la traire. Quelques minutes plus tard, elle a donné un coup sur le seau avec sa patte droite.
– Encore?
– Ben oui… Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
– Alors, qu’est-ce que t’as fait?
– J’ai décide d’attacher la patte droite sur l’autre poteau pour ne pas qu’elle recommence. La, elle ne pouvait plus donner de coup de patte puisque les deux étaient attachées de chaque côté.
– Et ça a marché?
– Ben, je me suis rassis et j’ai recommencé à la traire. Tout allait bien, jusqu’à ce que la maudite niaiseuse de vache donne un coup de queue et renverse le seau encore une fois.
– Ouai, ça n’allait pas bien!
– Non monsieur. Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer…
– Alors qu’est-ce que t’as fait ensuite?
– Ben la, je n’avais plus de corde proche, alors j’ai enlevé ma ceinture pour attacher sa queue sur un poteau pour ne pas qu’elle recommence. Comme je venais de finir d’attacher la queue, mon pantalon est tombé.
– Et alors.. ? ! ? !
– Ben, c’est à ce moment que ma femme est entrée dans l’étable… Y’a des affaires qu’on n’est pas capable d’expliquer!